Les Éditions Meystre ou le Gallimard suisse ?
Quel rôle croyez-vous que le livre puisse encore jouer dans la société actuelle ? Pensez-vous qu’il ait encore un avenir face au numérique ? Il est vrai qu’à l’heure de...







Quel rôle croyez-vous que le livre puisse encore jouer dans la société actuelle ? Pensez-vous qu’il ait encore un avenir face au numérique ? Il est vrai qu’à l’heure de...
Sobriété et discernement, les Éditions Meystre sont une toute jeune maison d’édition, mais elle a une grande ambition, dans un esprit catholique. Xavier Meystre, vaudois de 30 ans, réédite de...
La Suisse, héritière du Saint Empire Romain Germanique Gonzague de Reynold (1880-1970) est un écrivain hors-pair. Son œuvre prolifique est composée de poèmes, d’essais et récits historiques passionnants. Il répondra...
FlorianOuvrage d’une qualité exceptionnelle, soigné et impeccable. Je recommande sans hésiter !
Nicolas FUn essai bref mais précieux pour comprendre ce que fut réellement la Suisse avant sa transformation récente. Certains jugeront peut-être que le regard de l’auteur paraît “dépassé” au premier abord, mais c’est justement ce qui fait la valeur du texte : il montre une Suisse encore enracinée, forte de son identité historique, avant l’uniformisation contemporaine. Lire ces pages, c’est mesurer le contraste entre ce que nous étions et ce que nous sommes devenus, et comprendre pourquoi cette continuité intérieure fut si longtemps la source de sa stabilité.
Paul HUn ouvrage clair et structuré qui permet enfin d’entrer dans la pensée thomiste sans être perdu. Tout est progressif, logique, et ouvre l’intelligence sans jamais alourdir. Une véritable porte d’entrée pour mieux comprendre le réel.
François DUn témoignage passionnant, précis et vivant, qui permet d’entrer réellement dans une époque sans filtre ni reconstruction idéologique. On a le sentiment de voyager aux côtés de l’auteur, avec un regard lucide mais sans hostilité systématique. Le livre montre ce que l’on ne perçoit jamais dans les récits officiels : l’atmosphère d’un pays, l’âme d’un peuple, les contrastes entre façade et réalité. On ressort avec une compréhension plus juste, parce qu’incarnée.
Claire MUn livre d’une grande finesse, qui remet de la clarté là où le discours ambiant entretient surtout de la confusion. Il ne cherche pas à flatter ni à opposer, mais à comprendre en profondeur la vocation féminine et la manière dont l’amour s’y inscrit naturellement. On y découvre une vision à la fois exigeante et paisible, qui aide à mieux saisir ce qu’est la loyauté, la délicatesse, le don de soi. Une lecture qui éclaire autant qu’elle apaise.
Julien ACe livre touche beaucoup plus profondément qu’on ne l’attend au premier abord. Il ne parle pas de la souffrance de façon abstraite ou théorique, mais de ce qu’elle révèle en profondeur chez l’homme lorsqu’il n’a plus d’appui extérieur. La lecture oblige à se regarder soi-même, à mesurer ce que l’on supporte, ce que l’on fuit, et ce que l’on devient au contact de l’épreuve. Il y a une forme de vérité nue dans ces pages, qui ne consola pas par des mots faciles mais qui redonne sens et hauteur intérieure. C’est un ouvrage qui accompagne, qui recentre, et qui demeure en mémoire longtemps.